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La CEDEAO n’a pas le pouvoir d’exiger la libération de Gabriel Messan Agbéyomé Kodjo, arrêté pour « atteinte à la sécurité intérieure de l’État » après avoir contesté les résultats de l’élection présidentielle du 22 février dernier. C’est en substance ce qu’indique le président de la Commission de la CEDEAO, Jean-Claude Kassi Brou, interrogé vendredi par RFI sur la crise poste électorale au Togo.
« Il y a des lois et des règles internes dans chaque pays. Donc ce que nous savons c’est qu’il y a eu des élections et les résultats ont été proclamés par la Cour Constitutionnelle. Il y a eu une action visant à lever l’immunité parlementaire compte tenu de certains actes qui ont été posés et donc l’immunité a été levée. Et comme je l’ai dit, les pays ont
Pour le président de la Commission de la CEDEAO, l’élection présidentielle du 22 février s’est déroulée dans de « bonnes conditions » ceci, sous les regards des missions d’observation « crédibles ». « Pour les élections présidentielles, comme on le fait un peu partout, nous avons accompagné au plan technique la CENI et nous avons envoyé une mission d’observation et je crois que les résultats avec les autres missions d’observation ont révélé que les élections se sont passées de manière normale. Donc à ce point, nous avons au niveau de la CEDEAO fait les accompagnements conformément aux orientations qui ont été données par les Chefs d’État », a-t-il indiqué.
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