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© togoactualite – Face au tollé suscité par sa décision du 02 février 2015 qui porte beaucoup plus de confusion que d’éclairer la lanterne des citoyens togolais à quelques semaines de l’élection présidentielle sans les réformes, la Cour constitutionnelle a fait du rétropédalage pour clarifier sa position.
Par un communiqué qu’elle a rendue publique quelques heures après le premier et après que le ministre de l’administration du territoire ait rectifié la décision de la plus haute juridiction, cette dernière ressort un communiqué. Cette fois-ci pour préciser que « le décret de convocation du Corps électoral doit être pris 60 jours au moins, entre le 17
février et le 05 mars 2015 ou 75 jours au plus tard avant l’expiration du mandat actuel du président ».
En clair pour la Cour, l’élection ne peut avoir lieu entre le 17 février et le 05 mars 2015.
Par ces sorties, la Cour suprême dont ces décisions ne doivent être sujettes, à interprétation, prouve qu’elle ne maitrise pas son sujet et elle a été obligée de ravaler ce qu’elle vomit.
En effet, la décision de la Cour a semé plus de confusion et a été une menace pour l’actuel chef de l’Etat qui redoute que sa légitimité soit contestée au-delà du délai constitutionnel.
C’est donc dans la main de ces juges que nous confions le destin de notre pays.
lomévi (www.togoactualite.com)
Par un communiqué qu’elle a rendue publique quelques heures après le premier et après que le ministre de l’administration du territoire ait rectifié la décision de la plus haute juridiction, cette dernière ressort un communiqué. Cette fois-ci pour préciser que « le décret de convocation du Corps électoral doit être pris 60 jours au moins, entre le 17
En clair pour la Cour, l’élection ne peut avoir lieu entre le 17 février et le 05 mars 2015.
Par ces sorties, la Cour suprême dont ces décisions ne doivent être sujettes, à interprétation, prouve qu’elle ne maitrise pas son sujet et elle a été obligée de ravaler ce qu’elle vomit.
En effet, la décision de la Cour a semé plus de confusion et a été une menace pour l’actuel chef de l’Etat qui redoute que sa légitimité soit contestée au-delà du délai constitutionnel.
C’est donc dans la main de ces juges que nous confions le destin de notre pays.
lomévi (www.togoactualite.com)
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