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L’ancien ministre de l’administration territoriale et son entourage ont beau tenté d’étouffer l’affaire, elle est bien déjà dans le public. Et au sein de l’opinion, on se demande, ce qu’on lui veut.
Il y a peu, l’ancien Directeur de Cabinet du Président de la République et ancien ministre de l’administration territoriale Pascal Bodjona libéré après près de huit mois de détention dans une affaire rocambolesque, a triomphalement regagné son domicile. Depuis, ils sont nombreux les compatriotes, à l’exception de ses amis du système aux commandes, à lui rendre visite en son domicile. Un ballet considéré dans l’entourage de Faure Gnassingbé comme un désaveu du prince, voire un échec des « Sécurocrates » qui ont tenté à travers l’affaire dite d’ « escroquerie internationale »,de neutraliser le « ministre grand format ».
Le vendredi dernier on ne sait à quelle fin, un responsable de la sécurité d’Etat a positionné un « barbouze » aux environs du domicile de Pascal Bodjona. Interpelé par des partisans de l’ancien ministre de l’administration territoriale qui s’y connaissent dans les pratiques du système, le missionné aurait déclaré avoir été positionné pour pointer les visiteurs du maître des lieux, qui dit attendre impatiemment le procès dans l’affaire d’ « escroquerie internationale », qui a opposé principalement Bertin Agba à Abass Al Youssef.
Pascla Bodjona qui crie pour le moins à
Le Directrice du HCDH s’est exécutée mais a vite vu sa patience à bout, face aux oukases du Procureur de la République qui par ailleurs s’illustre à travers les arrestations des responsables et militants de l’opposition dans l’affaire des incendies des marchés de Kara et Lomé. Mais Pascal Bodjna a refusé de remettre aux soins de Procureur de la République, le barbouze.
Depuis, dans l’entourage de celui qui fabriquait les victoires électorales de Faure Gnassingbé, on tente d’étouffer l’affaire, mais peine perdue.
En cette période électorale, plus d’un se demandent jusqu’où Faure Gnasssingbé et ses « Sécurocrates » sont capables d’aller dans leur volonté de conserver le pouvoir contre la volonté populaire en faveur de l’alternance politique et du changement.
Aghu
koaci